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Le Noble Coran (Luxe/ Grand format/souple/tranche or) Traduction Professeur Mohamed Chiadmi - Edition Tawhid

Le Noble Coran (Luxe/ Grand format/souple/tranche or) Traduction Professeur Mohamed Chiadmi - Edition Tawhid

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Le Noble Coran (Luxe/ Grand format) une traduction Mohamed Chiadmi (traducteur) - Edition Tawhid

Le traducteur a fourni un travail des plus sérieux ; le style est raffiné, la langue, soutenue.Une traduction enrichie par 200 pages d'annexes (histoire du Coran, vie du Prophète, cartes, glossaire et index). Grand Format. Couverture souple haut de gamme, cousu avec signet. Tranche doré avec angle arrondi. Existe en trois autre coloris, réf. 01135L.

Quelques réactions à la traduction du Noble Coran faite par le professeur Mohammed Chiadmi

UNE TRADUCTION RECONNUE…

La présente traduction est une contribution importante, la formulation est travaillée, le sens préservé. L’étude est effectuée avec une rigueur et une fidélité qu’il faut saluer.

Pr Tarik Ramadan. (Professeur en Philosophie-docteur ès lettres en islamologie-arabe)

 

Il demeure indéniable que le traducteur a fourni un travail des plus sérieux et des plus difficiles. Le style est raffiné, la langue soutenue. Le travail a été approfondi par l’étude de plusieurs exégèses, notamment celles d’at-Tabarî et d’Ibn Khatir.

Shaykh Yusuf Ibram.  (Diplômé en sciences religieuses de l’université de Riyad et membre du conseil européen de la fatwa).

 

Eléments biographiques de l’auteur de la traduction du Noble Coran en langue française, le professeur Mohammed Chiadmi.

le professeur Mohammed Chiadmi

le professeur Mohammed Chiadmi

est né en 1924, à El-jadida, au Maroc, au sein d’une famille composée à la fois d’oulémas et de mystiques. Il apprit très jeune le Coran. Il commença son initiation aux sciences islamiques parallèlement à ses études primaires, puis poursuivit durant ses études secondaires ; et cela, sous la direction de son père- le jurisconsulte Si Ismaïl Chiadmi-, son grand-père maternel –le cadi (juge) Abou Chouaïb al-Mabkhout-, le jurisconsulte Si Mohammed al-Hattab, le cadi Si-Bahboubi et le cadi Si Ahmed Zemmouri.

Titulaire d’une licence d’histoire-géographie, d’une licence en lettres et du diplôme de traduction délivré par l’Institut des Hautes Etudes de Rabat, en 1948, l’auteur fut nommé :

-Professeur dans différents lycées et y enseigna durant treize années ;

-Proviseur de lycée, durant cinq années ;

-Délégué du ministère de l’Education National, à Casablanca.

Il fut ensuite appelé au ministère pour y exercer les fonctions de chef de la recherche et de l’action pédagogique. Il fut nommé chevalier de l’ordre des Palmes académiques, par le ministère français de l’Education Nationale, pour services rendus à la culture françaises (décret du 31 juillet 1970). Il occupa la fonction de directeur général de l’enseignement secondaire et technique jusqu’en 1971.

Ensuite, Mohammed Chiadmi occupa en même temps la fonction de directeur de cabinet du ministre de l’Education Nationale et celle de délégué permanent du Maroc au sein du comité consultatif pour l’éducation et l’enseignement dans le Maghreb Arabe.

En 1973, il fut nommé inspecteur général au ministère des Habous et des Affaires Islamiques.

De 1977 à 1984, nommé par Dahir, il occupa le poste de Secrétaire General du Parlement Marocain.

Œuvres publiées :

Outre plusieurs manuels scolaires d’histoire et de géographie composés en collaboration avec d’autres inspecteurs et destinés aux élèves des lycées ainsi que divers ouvrages historiques :

* Histoires de la ville d’Azemmour et sa banlieue, en 1989.
* Collaboration à la rédaction de l’Encyclopédie du Maroc.
* Traduction du Saint Coran en langue française :

1ere édition en 1999 ;

2ième éditions en 2001, au Maroc ;

3ième édition (Le Noble Coran) et suivantes par les Editions Tawhid de Lyon (France) en 2004, 2006, 2008.

 

Une traduction originale : (Extraits de la préface faite Par Shaykh Yusuf Ibram)

J’ai eu à lire bon nombre de traductions en langue française ; aucune ne m’a jamais vraiment satisfaite. Lorsque les éditions Tawhid m’ont présenté cette nouvelle traduction du Professeur Mohammed Chiadmi, j’ai rapidement observé la distinction et la profondeur du travail entrepris. À mon sens, cette traduction est un véritable trésor - avec tout ce que ce terme renferme de profondeur, de grandeur et de minutie. Il demeure indéniable que le traducteur a fourni un travail des plus sérieux et des plus difficiles aussi ; que Dieu l’en récompense et qu’Il place son travail sur la balance de ses bonnes œuvres.

Les recommandations que je porte à l’égard de ce présent travail reposent sur de nombreux éléments.

Avant tout, Mohammed Chiadmi n’a pas sacrifié la langue française au privilège de la syntaxe arabe. Le style est raffiné, la langue soutenue et le choix des mots se veut particulièrement en accord avec ceux de la langue arabe - du moins, il s’en approche au maximum.

De plus, le traducteur s’est efforcé de privilégier le sens du verset en sélectionnant parfois deux ou trois termes français afin d’exprimer un seul mot arabe, comprenant ainsi que la traduction littérale trahirait le sens du verbe.

Le travail a été approfondi par l’étude de plusieurs exégèses, notamment celles d’at-Tabarî et d’ibn Kathîr, réputés être des spécialistes en la matière. Plusieurs approches ont été étudiées et n’ont été retenues que les plus convaincantes et les plus fidèles à l’esprit du Texte coranique. Ainsi cette traduction est-elle celle qui se rapproche le plus de la compréhension juste du Coran, tant au niveau de son vocabulaire que de ses sens. Par ailleurs, le traducteur a passé en revue les traductions déjà existantes afin de tirer profit des réalisations précédentes.

Dans la majeure partie des cas, le traducteur s’est attaché à la tradition orthodoxe (ahl as-sunna wa al-jamâ‘a) pour la description de l’invisible, et notamment de Dieu à travers Ses attributs. Il se distingue en cela des traductions de certains orientalistes souvent moins scrupuleux sur l’appréhension du Sacré.[…]

Pour conclure, il convient de rappeler que l’étude intellectuelle du Coran se conjugue à l’acte d’adoration. Lire le Coran, c’est à la fois l’étudier et invoquer Dieu. En ce sens, le lecteur doit se sentir totalement concerné par les injonctions et les enseignements coraniques. Il doit prendre conscience que le discours lui est proprement adressé, qu’à chaque fois qu’il lit un verset, il s’approche de son Seigneur. Au-delà d’un texte scientifique ou littéraire, le Coran est un appel à qui veut l’écouter et le suivre. Il interpelle les consciences, avertit et annonce, éduque et instruit. Certes, il contient des vérités scientifiques qui défient les intelligences, il établit des règles sociales et politiques qui interpellent notre humanisme, il conserve la mémoire historique à travers les histoires des peuples et des prophètes qu’aucune révélation n’avait jamais contenue. Cependant, tous ces aspects ne sont que des éléments secondaires de la vocation du Message : le Coran est le Livre de Dieu déployé pour appeler, éclairer et guider le cœur des hommes. Il est la Lumière avec laquelle les hommes s’éclairent pour suivre la Voie et le témoin de nos propres personnes.

Extraits de la préface faite Par Shaykh Yusuf Ibram.
Imam de la mosquée de Zurich (Suisse). Il est diplômé en sciences religieuses (sharî‘a) à l’université de Riyad (Arabie Saoudite). Il est membre du Conseil européen de la fatwa.

 

source : traductionducoran.over-blog.fr/page/2

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